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Raja Detox : une triple detox, physique, émotionnelle et mentale

Raja Detox : une triple detox, physique, émotionnelle et mentale

Raja Detox : une triple detox, physique, émotionnelle et mentale

Bien sûr, vous pouvez boire du jus de citron et remettre votre corps en mouvement pour mieux éliminer les toxines accumulées pendant l’hiver, mais la détox royale s’occupe autant du corps que du mental et des émotions (non digérées, par exemple).

Ainsi, vous abordez le printemps avec un nouvel entrain, plus de joie et une nouvelle motivation à différents niveaux :

Plus d’énergie, de motivation, un meilleur moral, une meilleure concentration, un sommeil plus réparateur, moins de sensibilité au stress extérieur, moins d’anxiété, plus de clarté et de calme intérieur.

Au niveau physique, vous développez un meilleur équilibre, une meilleure circulation de l’énergie dans le corps, un abaissement de la tension artérielle, moins de tensions musculaires (notamment oculaire, nuque, mâchoires) vous développez plus de flexibilité physique et mentale, etc.

Avec ce retour à plus d’équilibre, il est alors plus facile d’atteindre ses objectifs et aussi de lutter durablement contre les effets du stress.

 

Comment ?

Nous établissons ensemble un programme sur mesure qui corresponde au mieux à ce que vous souhaitez mettre en place. En fonction de vos besoins, vos préférences et vos capacités physiques, nous utilisons différents outils venant du yoga et de l’ayurveda (qui sont intimement liés).

Allant des exercices de respirations au mantras en passant par les postures, la méditation et les massages indiens du visage, de la tête ou des pieds.

La synergie de ces différents outils permet de plonger un peu plus en profondeur à chaque étape pour se reconnecter à Soi en douceur et en toute sérénité. Établir ce dialogue intérieur ramène plus d’équilibre dans votre vie de manière naturelle. Les habitudes toxiques ne vous attirent plus et vous les remplacer par d’autres choses qui vous permettent de diriger votre vie vers ce à quoi vous aspirez profondément.

Par exemple, les massages de la tête et du visage permettent de littéralement « vider la tête » et de retrouver une profonde paix intérieure. Comme une sorte de « reset » de votre disque dur interne.

Je vous accompagne sur ce chemin jusqu’à ce que vous ayez les outils nécessaires pour avancer chez vous et à votre rythme.

 

Une question de poids ?

J’ai entendu des personnes qui pensent que le yoga n’est pas fait pour elle à cause de leur surpoids. C’est qu’elles n’ont pas trouvé l’approche qui leur convient. La detox royale s’adapte à tous. Pour avoir passé une bonne partie de ma vie en surpoids, je sais à quel point, il s’agit d’une réponse au stress et combien il est lié à des facteurs émotionnels qui souvent nous dépassent. C’est pourquoi, je considère le surpoids sous l’angle du stress, de la gestion de l’ énergie (et non, non, je ne parle pas de calories !) et des émotions.

 

Offre spéciale – Raja DETOX

Cette offre est réservée aux élèves du yoga studio et aux abonnés de la newsletter (insciption en bas de page).
Vous avez deux possibilités à choix :

– 4 séances de 90 minutes : 498.- au lieu de 648.-

– 6 séances de 120 minutes (ou 8 séances de 90 minutes): 909.- au lieu de 1’296.-

Lieu : les séances ont lieu les mardis à l’avenue de la Gare à Lausanne ou sur rendez-vous à Pully.

N’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations ou pour réserver 079/752 65 10

Cette offre est valable jusqu’au 8 mars 2020.

 

Plus d’informations :

– Massage indien de la tête

– Massage liftant detox du visage

– Massage des pieds au bol Kansa

7 raisons d’étudier les chakras

7 raisons d’étudier les chakras

7 chakras1. Améliorer la relation avec son corps physique

 

2. Comprendre et ressentir ses émotions pour mieux les vivre et les partager

 

3. Étudier comment sa personnalité s’est construite et mise en lumière de situations bloquantes

 

4. Améliorer le relationnel … en commençant par la relation avec soi-même

 

5. Approfondir ses aptitudes à communiquer, exprimer sa créativité, ainsi que sa faculté d’ écoute et la capacité à être entendu

 

6. Faire le point sur sa relation à l’imaginaire, aux rêves et à l’ intuition

 

7. Réfléchir à sa relation à l’univers et à l’ intelligence
 

 

Et il y en a sans doute quelques millions d’autres …

Cette science ancestrale est restée secrète pendant longtemps. Aujourd’hui, elle est reprise dans de multiples disciplines et interprétée de manière très diverses.

Dans la transmission du yoga qui me passionne, j’aime présenter les chakras comme un guide et un fil rouge pour avancer sur le chemin du yoga et de la connaissance du Soi.

Svadhyaya ou l’étude du Soi est une discipline qui fait partie intégrante du Yoga. Avoir conscience de son côté obscur, oser le décortiquer, savoir comment il s’est formé et de quoi il se nourrit est un passage obligé pour avancer et atteindre la huitième étape du yoga, le Samadhi.

En ce qui me concerne, je propose une approche pragmatique qui permet à chacun d’évoluer selon ses propres besoins sur le plan physique, émotionnel et mental. Comprendre l’origine de certaines habitudes, traits de caractère ou certains blocages pour mieux les défaire. Observer ses blocages, prendre conscience des limitations dans le corps. Mais aussi, cultiver les qualités que nous souhaitons renforcer en nous, comme la compassion ou l’amour inconditionnel.

Ainsi, chacun peut définir les outils du yoga qui lui correspondent le mieux. La pratique régulière de respirations, postures, mantras, mudras et la méditation permet de rapporter ou de libérer de l’énergie en fonction des besoins et des capacités physiques.

Ce travail peut se faire en petit groupe ou de manière individuelle. Vous pouvez aussi commencer par un atelier de groupe qui mélange la pratique et la théorie en lien avec les chakras, puis approfondir avec des séances individuelles. Découvrez ci-dessous quand a lieu le prochain atelier sur les chakras.

 

 

Bruno Manser – La voix de la forêt

Bruno Manser – La voix de la forêt

C’est l’histoire d’un homme qui part au milieu de nul part pour trouver sa place dans le monde.

Le récit de la vie de Bruno Manser fait tellement sens aujourd’hui. A l’heure où chacun devrait s’interroger sur la cohérence entre son souhait de sauver la planète, sa consommation, la manière de gagner sa vie, l’exemple de Bruno Manser nous rappelle le besoin fondamental de liberté, d’authenticité et de sens.

C’est également l’histoire d’un peuple libre, soudain soumis à la soif capitaliste du pouvoir politique en place, au prix du massacre de notre Terre comme de ses habitants.

Il faut aller voir ce film pour se rappeler que le sort de notre planète ne se défend pas seulement en agitant quelques banderoles et en scandant des slogans. Il s’agit d’incarner nos convictions à travers nos actes quotidiens. Ne jamais renoncer. Manifester quelques heures au long de son existence ne suffit pas. Les actes au-delà des paroles. Ne pas penser non plus que les solutions viendront des politiques, mais bien se rappeler que NOUS sommes les solutions. Individuellement et collectivement. Défendre ses choix … quel que soit le prix à payer.

Sarawak: une jungle d’amertume

Ce film fait particulièrement sens pour moi, car j’ai visité cette jungle primaire dans les années nonante. A l’époque, je n’avais pas conscience d’être l’instrument d’un gouvernement qui souhaitait se racheter une bonne conscience. Voir ce film a redonné toute sa pertinence à la profonde amertume qui avait marqué ce voyage à l’époque.

J’ai dormi dans la jungle au Sarawak (état de Bornéo) chez une autre tribu : les Ibans (coupeurs de tête et tribu majoritaire du Sarawak). Ce ne sont pas ceux du film, mais eux aussi, étaient en voie de sédentarisation, au service du tourisme. A l’époque, j’ai eu un mémorable conflit avec ma mère, agent de voyage et invitée principale de ce voyage. Je revois la scène comme si c’était hier : Moi assise sur la berge de la rivière, me demandant ce que je faisais là. Elle en train de se baigner dans la rivière vêtue d’un simple sarong. Moi, lui disant tout ce que je pensais du tourisme de masse et des méfaits de notre civilisation. Elle, imperturbable, restait convaincue du bien fondé de sa présence ne voyant pas le mal d’amener des touristes dans cet endroit presque encore vierge.

Je trouvais cette rencontre si factice que cela m’ ecoeurait. La guide nous avait fait acheter des chips sur la route en nous précisant que c’était les préférés du chef de la tribu Iban. Et à partir de là, nous avions enchaîné les heures de route, de pirogue et de marche. Pour arriver dans la hutte commune de la tribu à boire de l’alcool de riz maison. Et nous sourire, à défaut de pouvoir nous parler.

Ce sont les chips, je crois qui m’ont fait remettre en question la valeur de ce que nous pouvions apporter à ces peuples. L’apport de notre civilisation dite moderne se résume à: coca-cola, chips et télévision ???? C’est vraiment nécessaire ? Où est l’échange ? Est-ce qu’on ne ferait pas mieux de repartir sur la pointe des pieds? J’avais le sentiment que le simple fait d’être là les condamnait à disparaître. Toutes leurs traditions séculaires et leur habitat contre … des chips bourrés de graisses trans et du coca-cola. Waouh.

J’avais envie de repartir, car je pensais sincèrement que le meilleur cadeau à leur faire était de disparaître de leur vie et de les laisser seuls avec leur forêt. Détruire la télévision du chef en partant. Préserver leur environnement. Les protéger de notre société et de ses absurdités. J’avais perçu cette fragilité infinie.

Je me souviens aussi avoir eu le cœur déchiré en constatant depuis le ciel, ces immenses tonsures au beau milieu de la jungle : la déforestation. Un immense jeu de massacre à grande échelle. Effrayant.

Grâce au film, je comprends encore mieux à quels étaient les enjeux pour que l’état entreprenne des démarches de séduction pour convaincre la planète entière de leur bonnes actions envers les tribus vivant dans la forêt en leur offrant la télévision ainsi que le soi-disant cadeau de la sédentarisation.

David contre Goliath

Après deux semaines passées à visiter le pays, je n’ai jamais eu le sentiment qu’il puisse y avoir une issue favorable tant la croissance économique semblait le seul objectif de nos interlocuteurs. Un pays en mal de croissance et de pouvoir, exploité voire pillé par les commerçants chinois et quelques politiciens pour satisfaire les absurdes caprices consuméristes de l’Europe et des Etats-Unis.

Dans la balance : les tribus indigènes, des arbres séculaires, la faune et la flore. Mais rien ne semblait pouvoir freiner cette soif d’argent et de pouvoir.

Brun Manser, amoureux de la Nature a dédié sa vie à ce combat. Avec des résultats peut-être mitigés. Mais peut importe… quel exemple de courage, de cohérence et de pugnacité.  Son œuvre s’inscrit dans la durée et se poursuit aujourd’hui ( voir lien ci-dessous).

Et mes amis de la forêt ?

L’homme de la forêt se dit « Orang Utan ». Ce grand singe qui partage 97 % de notre capital génétique est si… humain. Lui aussi figure sur la liste des victimes.

L’avidité, la méchanceté et la soif de pouvoir seraient les trois pourcents qui nous séparent en terme de génétique? Sinon, quoi d’autre?

En tout cas, ils savent mieux vivre en groupe que nous et respectent mieux leur environnement.

Le point commun entre Bruno Manser et les Penan et qui nous fait crucialement défaut aujourd’hui ? L’authenticité, la cohérence, une certaine forme de naïveté.

Pourvu qu’il y ait un peu de Bruno Manser en chacun de nous et que cette partie puisse s’éveiller et se révéler un peu plus chaque jour. Redevenons un peu naïfs, utopistes et croyons en nos rêves.

Ne dit-on pas que c’est en se changeant soi-même que l’on peut changer le monde ?

Joyeux Noël à tous.

#oneness

PS : lors de ce voyage, je me souviens que j’écoutais cet album en boucle :

I don’t know – Noa

Et peut-être plus d’actualité sur le même album:: Ave Maria

La travail de Bruno Manser se poursuit

Bruno Manser fonds

Vers la lumière…

Vers la lumière…

Il y a toujours des jours sombres. Certains jours sombres semblent interminables. On peut même finir par douter de l’existence même de la lumière. Cette obscurité s’installe parfois aussi dans nos cœurs.

Un jour, je lui ai rendu visite. Je suis arrivée dans un endroit totalement obscure, froid, lugubre et humide. Le genre d’humidité qui vous glace les os. J’ai su que j’y étais. J’ai alors demandé à cette obscurité quel était son nom. Elle m’a répondu : « je m’appelle Désespoir ».

Je ne savais pas que j’abritais le désespoir en moi. J’ai donc observé l’endroit plus intensément en cherchant à savoir ce que c’ était exactement. L’absence d’espoir ? Oui, mais concrètement… froid, obscure, vide. Vide ? Vraiment ? Et si c’est vide, quelle différence avec la mort ?

Soudain, mon regard fut attiré par une minuscule lumière frêle, oscillante, hésitante. Non, ce n’est pas complètement vide. Même si c’est très petit et que son existence ne semble tenir qu’à un fil. C’est bien là. Curieuse, je m’en approchais. Plus je m’en approchais, plus elle devenait lumineuse, comme si le fait que je l’ai remarquée la nourrissait et la faisait briller.

amour inconditionnel

Lumière et espoir contrent les jours obscures.

Je l’ai prise dans mes mains : elle m’a alors empli instantanément de sa chaleur. J’ai souri. Elle continuait à grandir jusqu’ à illuminer tout l’espace. Fin du désespoir. Je sentais croître en moi une profonde gratitude pour cette toute petite flamme. Je me souviens l’entendre me glisser à l’oreille : « si tu ne m’avais pas remarquée, je n’aurais pas eu la force de grandir ». Quand je lui demandais si elle avait aussi un nom, elle me dit : «je suis l’ Amour inconditionnel. Je réside ici depuis toujours ». Je n’en avais pas conscience.

Depuis que je sais que l’amour inconditionnel habite en moi, j’en prends soin du mieux que je peux pour garder cette flamme en vie, lui permettre de grandir, la partager et l’offrir aux autres.

Ainsi, même dans les jours les plus sombres, je sais où aller chercher la lumière… elle finit toujours par revenir.

Avec beaucoup d’amour…

Bel et chaleureux hiver à tous !
Joyeux Noël

Laurence

PS :J’avais envie de partager ce vécu avec ceux qui vivent des jours obscures en plein Solstice d’hiver … Que ce texte vous apporte un peu de chaleur, d’espoir et qu’il puisse contribuer à ce que vous (re)trouviez cette petite flamme en vous… puis la laisser grandir.

Namaste

 

#oneness #faith #light #hope

 

L’Eau: dessus comme dessous

L’Eau: dessus comme dessous

L’Eau: dessus comme dessous

As above so below

L’île de Gozo (Malte)

L’Eau est mon élément. Depuis toujours. De mon surnom à mon thème astral en passant par ma couleur préférée, l’Eau est omniprésente dans mon existence. Alors forcément quand je pars en vacances, c’est très souvent près d’un point d’eau ou carrément dedans. Sans surprise, une de mes passions est la plongée sous-marine depuis une vingtaine d’année.

Récemment, j’ai eu la chance de découvrir un endroit magnifique grâce à ma famille: Gozo (Malte). Cela m’a une fois de plus permis de constater à quel point la plongée, c’est un peu, beaucoup, comme dans la vraie vie : tout réside dans la manière de percevoir les choses. Au final, c’est très révélateur de sa manière de vivre au quotidien. L’expérience apporte en plus l’aisance et la confiance.

De l’observation à la sensation

Au fil des ans, je plonge de moins en moins pour voir des dauphins, des raies ou des requins, mais avant tout, parce que j’aime l’eau, j’adore y flotter en surface ou à 25 mètres de profondeur. J’aime le bleu et ses infinies nuances, sa faune, sa flore et ses paysages divers aussi magnifiques que surprenants.

Et puis surtout, de plus en plus, cette sensation de flotter, d’être en apesanteur en se laissant bercer par le courant. Cette sensation me mène très près d’un état de méditation … de plus en plus en profond au fil du temps. Petit à petit, la respiration s’affine, la perception du corps diminue, le mental se tait… il ne reste plus que la sensation de ne faire qu’un avec l’eau, puis de se confondre avec elle, de devenir l’eau. Presque extatique.

Mes dernières plongées en libre (sans bouteille) en Méditerranée m’ont permis de constater le chemin que j’ai parcouru ces dernières années … et de voir des choses magnifiques.

Aujourd’hui, j’ai une pensée compatissante pour tous ceux qui sortent frustrés de leur plongée lorsqu’ ils n’ont pas vu « du gros » : au moins une raie, à la limite une tortue. Oui, j’avoue, il y a fort longtemps, j’en ai fait partie 🙂 Mais rien n’est immuable.

Salt pans à Xwejini

Poisson aiguille 12 cm

Cultiver son regard

Mon oncle était assez surpris d’entendre la liste de ce que j’avais vu à mon retour. Oursins, coquillages, labres, crabes, gobbies, mérous, murènes à taches jaunes et plein dont je ne connais pas le nom 🙂

Mais le plus joli et mon chouchou parmi tous, c’est le poisson aiguille ou syngnate. Il s’agit d’un cousin de l’ hypocampe. Vous prenez un hypocampe et vous le déroulez à plat. Et cela donne un poisson aiguille.

Normalement ils vivent plutôt dans les herbiers. Leur mimétisme avec les algues est parfait : la couleur, la forme et l’ondulation de l’algue dans le courant. Ils font entre 10 et 30 cm de long et 0,5 à 1 ou 2 cm de large. Pas facile à voir, donc.

Le niveau de perception

Après plusieurs jours de plongées, je me suis rendue compte que je n‘avais jamais vu autant de choses en plongée en Méditerranée en si peu de temps et du surcroît sans bouteille. J’avais l’impression d’avoir une chance inouïe.

En réfléchissant, j’ai compris que ce n’était pas tellement dû à ce qu’il y avait à voir ou à ma chance, mais plutôt à mon état de perception qui s’est accru et qui grandit un peu plus à chaque fois que je suis dans cet état d’être en union avec mon élément, avec ce qui m’entoure.

Ainsi à chaque plongée, un peu plus d’émerveillement: lumière, faune, flore, mais aussi des jolies interactions entre les poissons.

A ce moment là réaliser que c’est bien ma perception qui a évolué ces dernières années. Et non le nombre de poissons en Méditerranée. Ceci est le fruit de mon travail intérieur qui rend ma relation avec ce qui m’entoure plus intense, plus dense. On peut aussi appeler cela La Présence.

Aham Brahmasmi *

Ce que je vous décris plus haut, c’est cela l’état de YOGA ou l’état d’union. C’est assez éloigné d’une pratique de postures physiques dans un leggings à la mode en matière synthétique.

Mais plutôt : Se con-fondre (fondre avec) avec ce qui nous entoure, ne faire plus qu’un avec l’eau, se laisser absorber par les éléments, disparaître en tant qu’individu. Puis ressentir une gratitude immense pour le moment vécu.

Cultiver cet état de présence ou d’union le plus souvent possible. Là est le chemin à suivre.

Aham Brahmasmi 

* Aham Brahmasmi peut se traduire par :  « Je suis le Soi, l’Absolu » ou » je ne fais qu’un avec la conscience universelle » ou encore: »je suis l’univers » ou « je ne fais qu’un avec Brahman ». 

Ci-dessous une version audio de ce mantra.